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  • France : Fruits et légumes importés du Maroc




    Un partenariat privilégié ?

    Les marchés et supermarchés français se sont mis depuis longtemps à l'heure de la mondialisation. Les étals du rayon fruits et légumes témoignent de la vitalité actuelle des importations françaises. Au premier plan des partenaires privilégiés après l'Union Européenne, un allié des premiers jours : le Maroc. Nous étions déjà conquis par sa cuisine traditionnelle… voilà que ses tomates, clémentines, poivrons ou encore oranges prennent d'assaut le panier de la ménagère !
    Etat des lieux.



    Une tradition agricole…

    La France importe traditionnellement des fruits et légumes en provenance du Maroc. Et pour cause : ce pays a une forte vocation agricole. L’agriculture est un secteur majeur de son économie. Elle représente en moyenne jusqu’à 20% du P.I.B total (Produit intérieur brut). C’est aussi 40% de la population active qui dépend du secteur primaire, une superficie cultivable de 700 000 ha et 8000 producteurs. C’est également une source non négligeable de devises. En conséquence, les exportations de productions fruitières et maraîchères sont vitales pour la balance commerciale marocaine. D’ailleurs, pour certains produits, le royaume obtient des résultats plus qu’honorables. Il est par exemple le 2e exportateur mondial d’agrumes.
    La libéralisation des exportations n’a pourtant été effective qu’au début des années 80. Une période qui correspond à la modernisation intensive du secteur agricole. La culture des fruits et légumes a gagné aujourd’hui en qualité et productivité. Ces deux exigences s’expliquent d’une part par la concurrence importante de plusieurs autres Etats producteurs. En Europe, l’Espagne est le principal concurrent du Maroc dans l’exportation d’oranges ou de tomates. D’autre part, il faut satisfaire le consommateur français, principal client.



    Le marché marocain…

    Les producteurs marocains tentent de répondre au mieux aux exigences de qualité réclamées par la France. Il s’agit déjà de ne pas décevoir un pays qui absorbe à lui seul près de 70% des exportations de fruits et légumes primeur. C’est donc une source de revenus très importante. Pour cela, l’ensemble du secteur agricole marocain a du faire face à une profonde restructuration.
    Par ailleurs, si le Maroc exporte jusqu’à 900 000 tonnes de productions légumières et fruitières (chiffres de 2004/2005), essentiellement vers l’Union Européenne, le marché français a ses préférences. Celles-ci se portent sur la tomate, les agrumes (oranges et clémentines), le haricot, les petits pois, le melon, la pastèque, la courgette et le poivron. En dehors de la France, le Maroc exporte majoritairement des olives (et huile d’olive), des dattes, des raisins, ou encore des pommes de terre.



    Aussi, la production de fruits et légumes se caractérise à la fois par un inconvénient mais aussi par un avantage de taille. Ces produits sont d’une part périssables donc nécessitent des moyens de conservation importants. Ces derniers représentent un coût estimable pour le producteur. Mais d’autre part, la production bénéficie d’un calendrier assez étendu dans l’année, ce qui la rend plus conséquente. C’est le cas du haricot vert et du petit pois, cultivés toute l’année. La tomate, le poivron et la courgette sont également cultivés de sept à neuf mois sur douze.




    Le ‘fleuron du maraîchage marocain’…

    La tomate reste incontestablement le produit agricole le plus exporté en France. Elle représente à elle seule la moitié des exportations de fruits et légumes marocains. Elle provient en majorité d’une région au sud du Maroc : Souss-Massa. La tomate marocaine se présente essentiellement en grappe, en cerise ou en format cocktail. Elle est cultivée sur la quasi-totalité de l’année (sauf en août, septembre et octobre).

    … dépassé par la concurrence

    Si la tomate marocaine est de moins en moins chère sur nos marchés, c’est en raison de la forte concurrence que lui oppose l’Espagne. Ce pays à forte tradition agricole également, relance inlassablement l’offre. Certains producteurs espagnols sont même déjà implantés au Maroc car le marché y est intéressant mais encore mal exploité. En effet, si les progrès de l’agriculture marocaine sont indéniables, ils sont encore insuffisants en regard de la très forte compétitivité internationale.




    Un partenariat de moins en moins privilégié…

    L’autre effet de la mondialisation est d’avoir ouvert la concurrence entre les pays producteurs de fruits et légumes. Même si le Maroc exporte la majorité de sa production vers la France, il est aujourd’hui distancé par des pays de l’Union Européenne. Il est confronté à trois problématiques cruciales : d’abord, mettre l’accent sur la qualité de ses produits car elle fait souvent toute la différence sur le marché actuel. Puis il doit modifier toute sa stratégie de production, ce qui signifie qu’il doit améliorer l’ensemble de ses moyens techniques et basculer ainsi vers une modernisation intensive. Enfin, tout en restant présent sur le marché français, le Maroc doit impérativement diversifier les destinations de ses exportations et ne plus se limiter qu’à la seule Union Européenne.
    L’agriculture marocaine a finalement beaucoup de défis à relever mais doit également prendre en compte un facteur essentiel de son développement : le climat. En effet, si l’agriculture peine parfois à décoller, c’est aussi en raison des sécheresses successives que subi le pays années après années.
    J.Z  

    La cuisine ne s'est-elle pas construite à force de fusion ? La cuisine Fusion existe depuis le moment où l'Humanité s'est mise en marche ! Dès le Moyen âge, avec la route des épices, puis les invasions, guerres et autres plaies. La Mondialisation tant décriée nous a, de tout temps, apporté matière à fusionner. Les cuisiniers voyageurs ont nourri les registres classiques en empruntant aux cultures rencontrées. Inutile cependant de valider sa mentalité fusionnelle en cherchant à tout prix à parcourir le globe. Chaque « terroir », en perpétuelle évolution, progresse par apports des autres grâce à l'écrit ou aux récits qui, tous, relatent des anecdotes gastronomiques. Quelles belles leçons d'humilité, d'humanisme et de tolérance ! Les cuisines triturées, transformées, modifiées, occidentalisées, orientalisées, africanisées, américanisées, européanisées …font plus pour l'évolution culinaire que n'importe quelle théorie culinaire. Les échanges techniques et technologiques ont contribué à cet élan universel de la cuisine. Il est lamentable qu'aujourd'hui quelques toqués nationalistes revendiquent à la face du monde leur supériorité gastronomique. La Cuisine Fusion revendique, elle, son appartenance universelle et globale, ouverte sur l'équilibre et l'ouverture vers les autres. La Cuisine est un carrefour culturel privilégié. La revendication d'une cuisine culturelle sans frontière est marquée par l'originalité et l'ouverture d'esprit. Et point besoin d'être chef pour avoir l'esprit « Fusion » : il suffit de regarder vers d'autres directions, avec un œil généreux teinté d'une tolérance et d'une ouverture d'esprit sans frontière !

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